Trial à Sommières en 1978

Championnat du Monde de Trial

Sommières 1978

 

Photos et textes de Charles Camberoque   Reproduction interdite sans l’accord de l’auteur

 Bien entendu ces images sont à regarder sur un grand écran d’ordinateur, pas sur un téléphone trop petit.

 

Dans les années 70 Sommières, petite ville du Gard, apparaissait pour nous comme une capitale de la moto. 

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 Yrjo Vesterinen

Le moto-club Sommiérois était particulièrement actif et organisait plusieurs épreuves, une concentration et de nombreuses sorties des adhérents, un célèbre moto-cross  etc.

Tout cela a beaucoup contribué à une belle réputation et le trial de Sommières devint rapidement une des courses du Championnat du Monde de Trial. 

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Charles Coutard

En ce temps là je vivais dans l’Aude et nous ne manquions pas, avec le moto-club, de nous rendre régulièrement dans cette ville du Gard.

Pendant les concentrations on y avait tendance à prendre les boulevards pour des pistes de vitesse.

La plus part des sommiérois appréciaient indulgemment.

Ils applaudissaient devant les démarrages en trombe sur la rue devant les terrasses bondées des cafés qui longent le Vidourle.

Les 250 Ducati, équipées courses, hurlaient dans leurs mégaphones. C’était une autre époque…

J’avais ce que mes copains appelaient : la grosse cylindrée, c’est à dire ma 125 Terrot Ténor, mes camarades motards étaient eux sur des 50cc.

Des mobs quoi !

Sauf un qui avait une rutilante  Motobécane D 75, avec 5 vitesses ! Un monstre qui dans la position de la limande dépassait les 80 chrono !

Elle était bien plus récente que ma 125 qui avait déjà une douzaine d’années.

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Mike Andrews en conversation avec Coutard, Malcolm Rathmel et Charles Coutard 

Les concentrations de Sommières étaient d’incroyables fêtes de joie et de liberté, qui rassemblait des motards venant de toute la France.

Les membres du MC Sommiérois avaient un grand sens de l’accueil et de l’amitié.

Ils furent récompensés lorsque la Fédération Française leur attribua l’organisation d’une manche du Championnat du Monde de trial.

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C’était un événement et c’est ainsi que je m’étais rendu en 1978, encore une fois à Sommières.

Avec ma femme nous avions suivi la course en nous déplaçant sur sa 125 Montesa Cota T, modèle qui avait une selle double.

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Marie, avec à la main la liste des engagés que nous avons hélas perdu depuis longtemps.     Christian Desnoyer

 Si alors je n’avais pas oublié mes appareils photo, j’avais oublié depuis, dans mes archives, plusieurs négatifs que je n’avais jamais montré ni tiré !

Voilà donc l’histoire de ces photos après leur long sommeil d’une quarantaine d’années.

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A cette époque le trial était extrêmement populaire, nous suivions toutes les courses dans Moto Revue, qui ne paraissait que tous les jeudis.

Donc comme tous les grand-prix après les courses du dimanche nous n‘avions les résultats que 4 jours plus tard.

Alors, lorsque il était possible d’aller voir une manche du Championnat, tout le monde s’y précipitait avec enthousiasme.

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On y  admirait enfin et en vrai les pilotes mythiques que nous ne connaissions que grâce aux photos de Moto Revue.

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Ulf Karlson

Quelle émotion de voir Charles Coutard, Mike Andrew, Ulf Carlson, Martin Lampkin, Vetstérinen, et mon ami Philippe Reinaud qui était de la partie. 

Il participait aux championnats du monde en faisant équipe avec  Henri Figuères.

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Philippe Reinaud

Philippe Reinaud avait également terminé vice-champion de France derrière Coutard.

C’est dire son niveau de pilotage ! Voir à:

http://charlescamberoque.unblog.fr/2011/03/30/philippe-reinaud-gentlemen-trialist/

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Dans les années 1960 les sports motocyclistes et le trial nous venaient d’Angleterre qui était encore le pays de la moto.

Rapidement cette discipline de gentlemen s’est imposée en France.

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Yrjo Vesterinen

Les épreuves de trial étaient organisées en plein air, pas encore comme aujourd’hui où elles sont « indor », confinées dans de vilains palais des sports où bien entendu on peut canaliser et faire payer le public. 

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JM Lejeune

Autrefois le circuit était tracé en pleine nature sur plus d’une dizaine de kilomètres voire beaucoup plus.

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Le public venait nombreux à pied ou à moto et suivait de zone en zones la progression des pilotes.

Le spectacle était totalement gratuit !

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Marceau Montesinos

C’était parfois un joyeux bordel et les commissaires avaient du mal à canaliser les spectateurs de façon à ce qu’ils n’envahissent pas trop les zones.

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Christian Desnoyers

Quoiqu’il en soit on pouvait approcher de près les hommes et leurs machines, entendre les moteurs et respirer avec délice l’odeur des huiles des moteurs deux temps.

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L’ambiance était formidable, pleine d’attention et de concentration.

Qui était venu à Sommières ne pouvait pas oublier toute cette atmosphère si particulière et n’avait qu’un souhait, y revenir !

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Malcolm Rathmel

Les motos anglaises avaient été supplantées par des machines espagnoles.

Les pilotes professionnels étaient principalement sous contrat chez Bultaco, Montesa, Ossa,.

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Mais de nouvelles marques comme SWM, Yamaha où Suzuki arrivaient en compétition.

Mike Andrew avait été un des tout premiers pilotes à avoir un contrat avec une usine japonaise.

Et on le lui avait pas mal  reproché !

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Si Sommières est un pays de motos c’est aussi un pays de taureaux. 

Le public chaleureux du sud étant habitué aux corridas ne manquait pas d’encourager par des olé et autres cris tous nos champions à 2 roues.

Quelle folie !

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Les anciennes carrières de Junas constituaient le cœur du spectacle, le véritable temple du trial.

Maintenant touts les étés il y a dans ce même lieu un extraordinaire festival de jazz.

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Malcolm Rathmel, Tony Gorgot …

 Les montées nous semblaient impossibles et pourtant lorsqu’on voit ce que font les pilotes actuels en trial indor on ne peut qu’être admiratif devant l’évolution du pilotage actuel et des motos.

Quoique en 1978 les trialistes avaient trouvé ce tracé dangereux.

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C’était un grand bonheur que de se balader dans la nature, au grand air entre les zones dans des beaux paysages comme ceux de Sommières.

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Malcolm Rathmel

Je me souviens aussi du trial de Catalogne lorsqu’il se déroulait à Sant LLorenç del Munt.

Un paysage à couper le souffle mais qui est actuellement interdit aux motos et compétitions, grâce à l’action des écologistes, entre autres.

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Depuis cette épreuve, qui se déroulait en Mars 1978 les choses ont bien changé.

Les shows indors n’attirent pas les mêmes passionnés qui ont vieilli.

Ils préfèrent encore ce qu’on appelle le trial à l’ancienne.

Moins spectaculaire mais tellement convivial.

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En ce mois de Mars il ne faisait pas chaud mais c’était un plaisir d’être là qu’il pleuve qu’il vente ou sous le soleil de la fin de l’hiver.

Sur les photos on peut voir que les gens étaient bien couverts.

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Les passages dans les zones se faisaient tout en finesse.

Loin des acrobaties toutes en force sous les projecteurs dans la musique déchainée des palais des sports actuels.

Vraiment enfumés, même si les moteurs sont maintenant des 4 temps. 

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Hélas je ne vous donnerai pas la liste des pilotes ni leur classement du Trial International de Sommières 1978 car je ne les ai plus.

Merci d’avance  si des lecteurs les ont ainsi que tout autre renseignement que je rajouterai.

Ces informations seront les bienvenues et viendrons compléter ces pages  

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Hommage à Benjamin Grau

Hommage à Benjamin Grau.

 

Texte de José Mª Galindo et C Camberoque 

Photos de J M Galindo et Juan Segura 

 

J’ai souvent évoqué des pilotes espagnols renommés  qui  ont rendu la moto très populaire en Espagne.

Ils ont probablement suscités la vocation de beaucoup de coureurs actuels que l’on voit notamment en Grand Prix. 

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Min Grau à Calafat

C’est sur le circuit de Calafat qu’un hommage à Benjamin  Grau (dit Min) a été rendu cet automne 2023.

Le circuit de Calafat est l’un des premiers circuits permanent construit en Espagne en 1974 à l’Ametlla de Mar, dans la province de Tarragonna.

JM Galindo était présent aux côtés de son ami Min.

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Né en 1945 Benjamin Grau est un grand pilote Espagnol très polyvalent qui a couru sur toute sortes de machines dans différentes cylindrées.

Depuis les fameux 50cc Derbi en passant par les Bultaco, Montesa, Ossa, Ducati et autres … en 125, 250, 500, 750, 860, 1000.

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Grau  avait  participé à plusieurs GP, mais que occasionnellement.

Il y termina à de belles places : 1er en 125, 3ème en 50cc et en 250.

Il avait également décroché une 4 ème place en 500cc.

En Espagne il s’illustre dans le championnat national.

Participant au Championnat d’Europe d’endurance  il gagnera une reconnaissance internationale en pilotant officiellement une 1000 cc Honda avec Jacques Luc.

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Min Grau arrête sa carrière de pilote professionnel en 1986 mais il continue en amateur de fréquenter les circuits sur des motos anciennes.

JM Galindo me racontait une anecdote qui définit bien le caractère de Grau :

Lorsque se courut la première course internationale  de side-cars,  sur le circuit madrilène de Jarama, un pilote se trouvait sans son passager qui n’était pas arrivé à Madrid.

Il chercha qui pourrait bien le remplacer.

Et c’est Min qui se proposa spontanément pour faire le singe (qu’on appelle « el paquete » en Espagne).

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Il existe une rare image de Benjamin Grau faisant le singe sur le circuit de Jarama à Madrid !

C’est la photo ci dessus, envoyée par Galindo qui a des archives extraordinaires).

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En 1974 Min Grau participe au 24 heures de Montjuïc sur une 860 Ducati.

Sur la très belle photo de J Segura, ci dessus, on peut voir comme ce pilote qui est de petite taille a du style et une belle allure sur la moto.

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Sur une image prise le 5 juillet 1972, c’est la fin du championnat du monde.

Entre les deux Derbi on peut voir Min Grau et le regretté Angel Nieto.

 

Exposition des motos de Grau

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Une collection  de machines, sur lesquelles Min avait  couru, fut exposée à Calafat. 

Elle était constituée pour une partie de ses machines originales ainsi que des copies car beaucoup des motos d’époque furent, hélas, détruites. 

Actuellement ces machines sont propriété de collectionneurs privés.

Et ils sont nombreux en Catalogne et Espagne !

50-Derbi-et-250-Bultaco

Les petites Derbi depuis les plus rustiques jusqu’au plus sophistiquées étaient là.

Elles restent de merveilleuse petites machines qui m’ont fait bien rêver.

Les Derbi étaient déclinées en 50 cc, 125cc, 250cc.

Il y eu même une 400cc et une 500cc de tourisme que Derbi construisit en 3 et 4 cylindres deux temps.

On pouvait admirer également une 250 Bultaco d’endurance.

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Autre moto exposée : une 360 AJR, cette marque avait repris les plans des Bultaco TSS après que l’usine fut démantelée.  

Pendant encore plusieurs années on pu continuer de rouler sur des répliques des belles Bul de courses.

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Une Montesa était présente, bien entendu, avec une engin de course dérivée des Impala.

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Joaquín Folch, collectionneur avisé était présent regardant Juanjo Rodes qui chauffe sa Norton.

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Juanjo Rodes  fut dès les années 70, l’importateur des Norton pour l’Espagne.

Ce fut donc lui qui créa l’équipe Norton officielle.

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Importateur et coureur, Rodes était aussi un sacré bon pilote.

Avec  Fargas sur Norton ils gagnèrent les 24 h de Montjuïc en 1968.

Norton-J-Players-

La Norton JPS, John Player Spécial exposée  est une machine mythique construite en 1974 sur une base de Commando 850 cc.

Benjamin Grau avait gagné avec elle le Championnat d’Espagne en 1975.

Son propriétaire n’est autre que Joaquín Folch, un des plus grand collectionneur d’Espagne.

Details-Norton-JP-

 

La courses des classiques

A Calafat en plus de l’exposition des anciennes machines de course on put assister à une course de 4 h avec des motos classiques …

Et aussi pas mal de vieux pilotes !

circuit-calafat-classiques

Certains balancent prudemment !

Faut pas casser ces bécanes de légende !

ravitaillement-4h-calafat-anciennes

Ravitaillement à l’ancienne … lui aussi !

RVB-Calafat-4-h-classique-2023-

 

L’hommage à Min

Pendant ce temps là et après la course de 4 h Grau se prépare pour recevoir son hommage.

Il a revêtu son « habit de lumières » et son célèbre casque jaune et bleu pour effectuer une paire de tours d’honneur.

Min-Grau-cuir-

Parmi la foule des admirateurs qui se pressent on peut reconnaître des visages de ceux qui ont plus ou moins vieilli.

Ceux qui ont participé à la course sont encore en cuir.

Grau-etJ-Folch-

Sur la suivante photo, en bas à droite on peut reconnaître Jaime Alguersari.

Il avait fondé la célèbre revue Solo Moto puis organisé des coupes promotionnelles de moto et d’auto d’ou sortirent des pilotes comme Cardus, Garriga, Sito Pons et également Fernando Alonso.

Grau-J-Alguersari

Jaime Alguersari fut un personnage important pour le succès des sports mécaniques en Espagne.

Visiblement il n’y a pas de hasard à ce que la Dorna soit une organisation espagnole.

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 Calafat, un circuit à coté de la mer et Grau immortalisé sur une 250 Derbi par une photo de l’ami J Segura prise en 1979.

Un bien bel endroit !

 


Le circuit oublié dans LVM

 Bel article dans La vie de la moto

 

C’est Bruno Quaglia qui a signé un gros article sur deux pages de La vie de la moto.

Bruno était là, le jour de l’inauguration de la stèle posée par la Fédération Française des Véhicules d’Époque avec la collaboration du club des 5 A de Carcassonne. La FFVE installe ainsi des stèles sur l’emplacement des anciens circuits. 

 Voir      http://charlescamberoque.unblog.fr/?p=10607

2023-Dans-la-vie-de-la-Moto-décembre-2023

 

Merci à la belle équipe des deux Régis, Régis Arnaud et Régis Périch qui ne sont pas sans me rappeler les deux Al qui avaient eu l’idée du circuit de Carcassonne dans les années 30.

Vous retrouverez cette histoire dans mon livre, Le circuit oublié qui a bien été mis à l’honneur ce jour-là !

Dans le même numéro de La vie de la moto un autre article de Bruno Quaglia est consacrée également au Rallye de la Cité de Carcassonne qui est une magistrale organisation du club des 5A. 

Encore une fois, merci à tous !

 

2023-devoilement-stelle-grezes-

 

Au sujet de mon livre Patrick Barrabès a récemment écrit :

« Pour ceux qui ne l’ont pas encore lu, ce livre est incontournable !

Un texte qui fleure bon notre occitanie motocycliste, une histoire d’hommes traitée comme un roman, des photos magnifiques …

Bref, le genre d’ouvrage que l’on entame à l’ouverture de la boite aux lettres et que l’on quitte au bout de la nuit ! »

 

Pour se procurer mon livre Le circuit oublié, s’adresser à l’éditeur : Les Communications de la Clastre, ou bien à moi qui transmettrai.

 

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